Être célibataire « chronique » alors que tu veux te marier n’est pas toujours facile à vivre. Idem pour tout problème chronique dont tu veux te débarrasser mais qui perdure dans ta vie. Cependant, si tu n’apprends pas le contentement, tu perdras même le peu de joie et paix que tu possèdes en ce moment. Le contraire du contentement c’est le mécontentement.
Mon expérience avec le mécontentement
J’ai été mécontente pendant des années. Je ne parvenais pas à me mettre au-dessus de ma douleur, de mon envie de me marier qui n’était pas comblée. Ce mécontentement a impacté ma vie négativement.
Le pouvoir du contentement
Depuis que j’ai appris le contentement, ma vie a changé. J’ai noté des changements tangibles sur le plan spirituel, émotionnel, professionnel, personnel. Tu l’as compris, cultiver un esprit de contentement produit la croissance, la productivité, le progrès. Rien qu’à cause de ces améliorations dans ma vie, je ne veux plus demeurer dans le mécontentement. J’utilise « demeurer » à dessein car ça m’arrive encore d’être mécontente. Je prends juste garde de ne pas laisser perdurer ce sentiment.
Le choix du contentement
Cultiver le contentement veut dire que tu es conscient de ce dont tu as besoin mais tu fais le choix délibéré de soumettre ce besoin à Dieu et de Lui faire confiance pour la suite. Le contentement t’empêche de placer ton désir au-dessus de Dieu.
La croissance à travers la douleur
Le contentement n’est pas un don spirituel. Cela se développe dans la douleur. Tu dois faire face à certaines situations qui t’amèneront à la fin de toi-même. Des circonstances qui te pousseront à capituler et à te soumettre véritablement à Dieu. Dans le contentement, tu vois bien ces choses dont tu as envie mais qui semblent être hors de ta portée. Mais parce que ton processus de maturité spirituelle est enclenché, tu te surprends à penser plus à l’éternité.
Priorités éternelles
Malgré tes questions sans réponses, tu te rends compte que tes priorités ont changé. Tu cherches de plus en plus à mettre le royaume de Dieu en premier car tu as compris qu’Il est éternel et que la vie ici-bas est éphémère.